Dans deux articles antérieures (C. Enache, 2000, 2004) nous avons démonstré que la limite supérieure du Dacian doit être mise sous les couches avec les unionides „sculptées“, parce que leur apparition est un véritable nouveau fait faunique.
Cette nouveauté fossilifère correspond au sous-étage du Romanien, dénommé Pelendavien par I. Anderescu (1972). Le sous-étage inférieur du Romanien séparé par le même auteur comme Valahian, ne peut pas être soutenu parce que le fossile caractéristique établi par cet auter - Jazkoa sturdzae, a été trouvé ultérieurement à l’ouest de la rivière Motru dans le toit d’une couche de charbon dacien inférieur de la mine Zegujani (Petrescu J. et. al, 1989). De plus, dans une étude paléontologique et magnéto-stratigraphique réalisée dans l`exploitation à ciel ouvert Lupoaia, près de la ville Motru, I. Andreescu et. al (1986), ont identifié l`association: Jazkoa ex. gr. strurdzae, Potomida psilodonta (Tesseyre), Viviprus argesiensis (Sabba), au-dessous de l`épisode de polarisation Cochiti, et non pas au-dessus comme chez le stratotype de la Vallée de Saratelul de Buzau ou Andreescu (1972) met la limite Dacien – Romanien, au-dessus du niveu avec Jazkoa sturdzae (Cobalcescu) considérée comme fossile conducteur pour le debut du Romanien. Il est donc sûr, que Jazkoa sturdzae (Cobalcescu) est un fossile dacien.
Récemment, Victoria Lubenescu (2004) analysant la faune des forages du secteur Ojasca sur l’extrémité sud de l’anticlinal Berca – Arbanasi (près de du holostratotype du Romanien de la vallée de Slatinicul de Buzau), a constaté que, sur “les couches à Psilodon “, il y a intercalés entre des niveaux avec une faune salmastre Dacicardium avec: Dacicardium rumanum (Font.), Prosodacnomya sturi (Cob.), Hidrobia grandis Cob., rumanum (Font.), Zamphiridacna zamphiri (Cob.), Prosodcnomya stenopleura (Sabba), des niveaux avec une faune douceâtre romanienne, avec Viviparus bifarcinatus (Bielz), Hydrobia grandis Cob., Dreissena polymorpha (Pallas), Melanopsis div, sp., Bulius div. sp., Valvata div. sp., Unio sp.
L’auteur conclut que “ Viviparus bifarcinatus, accompagné par d’autres représentent des faunes qui proliféront en Romanien, paraissaient encore dans le temps du Dacien, au-dessus des couches avec Psilodon“ fait qui confirme notre affirmation sur la limite Dacien/Romanien exprimée dans les articles mentionnés.
Les études faites ultérieurement par nous sur cette limite nous avait condui à la conclusion que les depôts romaniens sont ingressifs et ils s‘asseyent sur différents termes de l‘étage Dacien.
À la limite occidentale du Bassin Dacique, dans l’exploitation à ciel ouvert Husniciara, le sous-étage Pelendavien représenté par: Pristinunio pristinus (Bielz), P. davilai (Porumb.), Rytia slavonica (M. Hoern.), Potomida munieri (Sabba), P. craiovensis (Teiss.), Viviparus stricturatus (Neum.) etc. a était décrit (C. Meilescu 1994) dans une “paléo-vallée”, au niveau du toit de la couche de charbon IV. À l’est de cette carrière, sur la colline Giurgesti, il existe aussi un aflleurement avec des unionides “sculptées” au-dessus de la couche de charbon VII.
Dans la localité Lupsa de Sus, l’horizon avec des unionides “sculptées” affleure au-dessus de la couche de charbon XII, aussi comme dans tout le territoire étendu entre les rivières Jiu et Motru.
Au sud d`Olténie, sur le berge droit de la rivière Jiu, les mêmes dépôts avec des unionides “sculptées” s´asseyent successivement sur les couches daciennes de lignite V II, VI et VII (Enciu et Andreescu, 1990).
Les forages exécutés entre les vallées de Teleorman et Vedea (Lubenescu et al.1986), ont rencontré indubitablement le Getien et probablement le Parscovien. Le Romanien a été rencontré avec la succession suivante: une lumachelle à la base, avec Viviparus bifarcinatus (Bielz), associé avec des unionides lisses et „sculptées“ comme celui du groupe Wenziela strossmayeriana selon lequel suivent des depôts avec une riche faune “semblable avec celle de Bucovat”, parmi lesquels: Pristinunio pristinus (Bielz), Rugunio turbureensis (Font.), Rugunio mojsvari (Peneche), Rugunio condai (Porumbaru).
De Slobozia jusqu’à Tandarei, dans des forages, le Dacien est représenté vers la limite supérieure par un niveau avec: Pseudocatillus humilis (Papaianopol & Lubenescu), Limnodacna gillete (Papaianopol & Motas), Zamphiridacna zamphiri (Cobalcescu), Prosodacnomya stenopleura (Sabba), Horiodacna rumana ((Sabba) etc. Au-dessus de ce niveau s’étendent d’une manière discordante les couches avec des uniondes „sculptées“ comme: Pristinunio pristinus (Bielz), Cuneopsidea sculpta (Brusina), Cuneopsidea beyrichi (Neumayr), Rugunio moldavicus (M. Hornes), Sulcopotomida herjei (Porumbaru), Viviparus stricturatus Neumair, Viviparus craiovensis (Tourneur), Melanopsis pterochila (Brusina) etc. appartenant au Pelednavien (I. Papaianopol, 1993).
Le caractère ingressif de l’eau lacustre du Bassin Gétique vers l`ouest, le sud et l’est, est donc évident. Les couches avec unionides „sculptées“ s’étendent d’une façon discordante sur différents termes du Dacien. Cette situation constitue encore un argument pour tracer la limite Dacien – Romanien sous ces couches.
Cette nouveauté fossilifère correspond au sous-étage du Romanien, dénommé Pelendavien par I. Anderescu (1972). Le sous-étage inférieur du Romanien séparé par le même auteur comme Valahian, ne peut pas être soutenu parce que le fossile caractéristique établi par cet auter - Jazkoa sturdzae, a été trouvé ultérieurement à l’ouest de la rivière Motru dans le toit d’une couche de charbon dacien inférieur de la mine Zegujani (Petrescu J. et. al, 1989). De plus, dans une étude paléontologique et magnéto-stratigraphique réalisée dans l`exploitation à ciel ouvert Lupoaia, près de la ville Motru, I. Andreescu et. al (1986), ont identifié l`association: Jazkoa ex. gr. strurdzae, Potomida psilodonta (Tesseyre), Viviprus argesiensis (Sabba), au-dessous de l`épisode de polarisation Cochiti, et non pas au-dessus comme chez le stratotype de la Vallée de Saratelul de Buzau ou Andreescu (1972) met la limite Dacien – Romanien, au-dessus du niveu avec Jazkoa sturdzae (Cobalcescu) considérée comme fossile conducteur pour le debut du Romanien. Il est donc sûr, que Jazkoa sturdzae (Cobalcescu) est un fossile dacien.
Récemment, Victoria Lubenescu (2004) analysant la faune des forages du secteur Ojasca sur l’extrémité sud de l’anticlinal Berca – Arbanasi (près de du holostratotype du Romanien de la vallée de Slatinicul de Buzau), a constaté que, sur “les couches à Psilodon “, il y a intercalés entre des niveaux avec une faune salmastre Dacicardium avec: Dacicardium rumanum (Font.), Prosodacnomya sturi (Cob.), Hidrobia grandis Cob., rumanum (Font.), Zamphiridacna zamphiri (Cob.), Prosodcnomya stenopleura (Sabba), des niveaux avec une faune douceâtre romanienne, avec Viviparus bifarcinatus (Bielz), Hydrobia grandis Cob., Dreissena polymorpha (Pallas), Melanopsis div, sp., Bulius div. sp., Valvata div. sp., Unio sp.
L’auteur conclut que “ Viviparus bifarcinatus, accompagné par d’autres représentent des faunes qui proliféront en Romanien, paraissaient encore dans le temps du Dacien, au-dessus des couches avec Psilodon“ fait qui confirme notre affirmation sur la limite Dacien/Romanien exprimée dans les articles mentionnés.
Les études faites ultérieurement par nous sur cette limite nous avait condui à la conclusion que les depôts romaniens sont ingressifs et ils s‘asseyent sur différents termes de l‘étage Dacien.
À la limite occidentale du Bassin Dacique, dans l’exploitation à ciel ouvert Husniciara, le sous-étage Pelendavien représenté par: Pristinunio pristinus (Bielz), P. davilai (Porumb.), Rytia slavonica (M. Hoern.), Potomida munieri (Sabba), P. craiovensis (Teiss.), Viviparus stricturatus (Neum.) etc. a était décrit (C. Meilescu 1994) dans une “paléo-vallée”, au niveau du toit de la couche de charbon IV. À l’est de cette carrière, sur la colline Giurgesti, il existe aussi un aflleurement avec des unionides “sculptées” au-dessus de la couche de charbon VII.
Dans la localité Lupsa de Sus, l’horizon avec des unionides “sculptées” affleure au-dessus de la couche de charbon XII, aussi comme dans tout le territoire étendu entre les rivières Jiu et Motru.
Au sud d`Olténie, sur le berge droit de la rivière Jiu, les mêmes dépôts avec des unionides “sculptées” s´asseyent successivement sur les couches daciennes de lignite V II, VI et VII (Enciu et Andreescu, 1990).
Les forages exécutés entre les vallées de Teleorman et Vedea (Lubenescu et al.1986), ont rencontré indubitablement le Getien et probablement le Parscovien. Le Romanien a été rencontré avec la succession suivante: une lumachelle à la base, avec Viviparus bifarcinatus (Bielz), associé avec des unionides lisses et „sculptées“ comme celui du groupe Wenziela strossmayeriana selon lequel suivent des depôts avec une riche faune “semblable avec celle de Bucovat”, parmi lesquels: Pristinunio pristinus (Bielz), Rugunio turbureensis (Font.), Rugunio mojsvari (Peneche), Rugunio condai (Porumbaru).
De Slobozia jusqu’à Tandarei, dans des forages, le Dacien est représenté vers la limite supérieure par un niveau avec: Pseudocatillus humilis (Papaianopol & Lubenescu), Limnodacna gillete (Papaianopol & Motas), Zamphiridacna zamphiri (Cobalcescu), Prosodacnomya stenopleura (Sabba), Horiodacna rumana ((Sabba) etc. Au-dessus de ce niveau s’étendent d’une manière discordante les couches avec des uniondes „sculptées“ comme: Pristinunio pristinus (Bielz), Cuneopsidea sculpta (Brusina), Cuneopsidea beyrichi (Neumayr), Rugunio moldavicus (M. Hornes), Sulcopotomida herjei (Porumbaru), Viviparus stricturatus Neumair, Viviparus craiovensis (Tourneur), Melanopsis pterochila (Brusina) etc. appartenant au Pelednavien (I. Papaianopol, 1993).
Le caractère ingressif de l’eau lacustre du Bassin Gétique vers l`ouest, le sud et l’est, est donc évident. Les couches avec unionides „sculptées“ s’étendent d’une façon discordante sur différents termes du Dacien. Cette situation constitue encore un argument pour tracer la limite Dacien – Romanien sous ces couches.
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